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sé du mécanisme, il suffit ensuite
        d’ajuster la valeur zéro face au
        trait de référence du corps de la
        lunette. Il est inutile  de dévisser
        complétement les vis, de soule-
        ver ou pire, enlever le capuchon
        au risque de renvoyer la lunette
        au SAV.
        LE RETICULE
        La KAHLES K318i 3,5-18x50
        que nous avons entre les mains
        est équipée d’un réticule MSR
        placé au premier plan focal. Nous
        avons déjà parlé de ce réticule à
        l’occasion d’articles. Pour rap-
        pel, le MSR fut à l’origine conçu
        pour allier simplicité, précision
        et polyvalence. Deux réticules
        spécifiques ont été ajoutés en
        bas à droite et en bas à gauche
        du réticule central ; celui de droite
        fait office d’échelle stadimé-
        trique, celui de gauche, l’inversé
        doit théoriquement permettre
        de calculer plus précisément la
        distance d’une cible dont les di-
        mensions sont connues, il permet
        aussi d’affiner l’estimation de la
        distance. KAHLES en propose
        un sur sa lunette le MSR/Ki, la
        différence entre le MSR standard,
        c’est que la croix centrale est
        remplacée par un dot, le point
        de visée est donc plus petit mais
        plus précis grâce à ce dot.
        Plusieurs réticules sont dispo-
        nibles pour la KAHLES K318i
        3,5-18x50 comme le : SKMR3,
        TREMOR 3 MOAK et bien
        d’autres.

        AU TIR
        La lunette est fixée sur notre
        incontournable TRG22 en .308
        Win avec un montage penté à
        20 MOA. Une fois le zérotage
        effectué, nous constatons qu’il ne
        nous reste que 218 clicks sur 255
        d’usine. Ce n’est pas la première
        fois que nous constatons une
        perte de clicks après zérotage
        sur les KAHLES et ceci, malgré
        l’ajout d’un montage penté. Ceci
        dit, il nous reste suffisamment
        pour aller taquiner les 1200m
        sans devoir effectuer une contre
        visée sur les dots bas du réticule.
        Nous avons vérifié en premier
        lieu si les clicks du tambour de
        hausse étaient correctement
        étalonnés à 100m. Pour ce faire,
        nous avons pris une planche
        de 120 cm posée verticalement
        à 100m, nous avons placé un
        visuel de référence en bas de la
        cible et un visuel de contrôle à
        1 mètre au-dessus du visuel de
        référence. L’exercice consistait,
        dans un premier temps, à tirer
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